N’est pas dosé systématiquement, il correspond au dosage de l’ADN oxydé.
Les radicaux libres peuvent agresser l’ADN de nos cellules.
Cette agression oxyde certaines bases de l’ADN, et peut être responsable de cassures ou de mutations initiant le processus de cancérogenèse.
Les bases oxydées sont remplacées en permanence par des bases neuves, grâce à l’intervention de molécules “réparatrices” spécifiques.
Les bases oxydées sont alors éliminées dans les urines où elles sont dosées sous forme de 8OHdG. De ce fait le dosage des 8OHdG objective plus la réparation de l’ADN plus que son oxydation.
Il reste cependant un marqueur intéressant de stress oxydatif, exprimant un risque plus élevé de développer à terme un cancer.
Dernière mise à jour le 17/11/2009